Aujourd'hui, quelque chose de notre "boîte à valeurs".
Lorsque j'achète un service ou un produit, je veux le valoriser autant que j'attends d'être valorisé dans mon travail. C'est pourquoi il n'y a pas de BlackFriday pour moi.
Cela fait des années que ce BlackFriday m'énerve. Mais aujourd'hui, je dois écrire quelque chose à ce sujet. (N'hésite pas à partager l'article !)
Tout d'abord, cela fait environ 17 ans que je n'ai pas laissé mes prix être négociés. Pourquoi ?
Parce que je calcule très bien ce que j'offre.
Parce que mes clients peuvent me faire confiance pour que l'effort et le tarif journalier indiqués dans l'offre soient corrects.
Parce que mon travail et celui de mon équipe ont une valeur. Une valeur non calculable et une valeur calculable. Nous travaillons avec une technologie nouvelle et fiable, nous avons des familles, nous devons nous déplacer chez les clients, nous nous formons, nous testons, nous nous frottons et nous explorons le monde de l'édition pour les clients. Nous optimisons notre travail. Et nous travaillons de manière ordonnée, fiable et super bien pour nos clients, j'aime aussi les appeler partenaires.
C'est précisément pour cela que nous avons une valeur.
Et elle est fixe, dans mes offres comme un chiffre, en pensée aussi comme la "soi-disant" valeur ajoutée, qui souvent ne peut pas être chiffrée.
Alors pourquoi devrais-je agir si c'est ce que toutes les parties considèrent comme juste ?
Et maintenant, le BlackFriday. En plus de cette envie inconcevable d'acheter et de gaspiller des ressources, la journée de l'avarice représente aussi la perception des valeurs dans la société. Et pas seulement sur les valeurs que je suis prêt à dépenser. Mais aussi ce que je vaux pour moi-même.
Pour tous les produits et services que j'achète ou que je réserve, je veux sentir que le fournisseur sait ce qu'il fait, comme je l'ai décrit plus haut. Et je ne veux pas avoir le sentiment tout au long de l'année qu'il m'arnaque et me calcule correctement un seul vendredi. Cela fait mal à mon sens des valeurs. Et je refuse, si je le peux, cette attitude d'entrepreneur.
Continue dans le premier commentaire, le texte est important pour moi, c'est pourquoi je te demande de continuer à lire là aussi.
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