Nous atterrissons à Oslo. Nous traversons le fjord pour entrer dans le port et mon pouls augmente. Descendre du ferry. Tout se passe bien. Le trafic urbain d'Oslo nous accueille aussi tranquillement. En moins de 10 minutes, nous sommes devant notre hôtel. Dans le centre-ville. Et tu vois : pas de place de parking. Nous roulons donc sur le trottoir et regardons autour de nous d'un air interrogateur.
Un gentil monsieur sort de l'hôtel et regarde en arrière d'un air interrogateur. Si nous voulons aller à l'hôtel ici ? Oui, volontiers. Bon, un petit moment ! Et déjà une porte étroite s'ouvre, les chariots de linge sont poussés sur le côté et nous poussons nos larges caisses (travail millimétré !) à travers un couloir étroit dans une cour étroite. On te salue gentiment en allemand. Et on espère que nous ne voudrons pas sortir avant demain matin. Car à peine la porte s'ouvre-t-elle derrière nous que les chariots de linge, les caisses de nourriture et le congélateur hors d'usage font en sorte que personne ne puisse plus jamais passer par ici. Demain matin, nous promet le portier, tout sera nettoyé.
Mais comment sortir de là demain matin est un mystère pour moi. Gerd dit même que nous pouvons faire demi-tour dans l'étroite cour intérieure. J'ai hâte de voir ça. J'attendrai tranquillement à la sortie pendant qu'il fera tourner deux grosses machines sur la béquille latérale. 🙂 #bestparkplatzzever #glückgekommen.
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Où ça ? Ici : Oslo, Norvège
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